Buenas tardes, amigos:
He de advertir que a mí nunca se me habría ocurrido escribir un cuento. Jamás. No, porque, francamente y por decirlo en pocas palabras, no es lo mío, para qué nos vamos a engañar. Pero este caso fue una excepción que tuvo lugar hace 3 ó 4 años, y fue por imposición: Sí, porque el profesor de francés, a fin de que no nos aburriésemos durante las vacaciones de semana santa, nos mandó a todos los alumnos escribir un cuento, y que además cumpliera estos tres requisitos:
–Que se escribiera en lengua francesa (ja ja), o sea que algunos tendréis que traducir. Lo siento.
–Que tuviera una extensión entre 1.000 y 1.500 palabras.
–Que versara sobre esto que ya es casi un clásico: el género déjà vu.
Y, hala, que cada uno se las compusiese como pudiera, y yo, como dice el soneto, «en mi vida me he visto en tal aprieto». Y así nació este cuento, que ha estado un tiempo olvidado en el fondo de un cajón, y que ahora rescato para dedicárselo con todo mi afecto a Blasita, al cumplirse el primer aniversario de la creación del mejor de todos los blogs: «Blasita | Asuntos propios y ajenos».
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NOTAS:
–Si se desea traducir, aconsejo utilizar el traductor en línea de francés-español de http://www.elmundo.es/traductor porque he comprobado, aunque no se pueden pedir peras al olmo, que dice menos disparates que otros traductores.
–A fin de no superar su capacidad, es conveniente introducir (copiar/pegar) sucesivamente en el recuadro de la izquierda del traductor los bloques que yo he separado y que se distinguen por el tipo de letra (1.º, bloque en negrita; 2.º, bloque con caracteres normales; 3.º, bloque en negrita; y así sucesivamente hasta el 11.º)
–Disculpad algunos casos en que, por tener las palabras varias acepciones, el sistema no haya hecho la traducción más adecuada (por ejemplo, reflejado en vez de reflexionado), aunque en conjunto se entiende bastante bien la traducción.
–Para el que lo lea en francés, señalo que en el original he tenido que variar la estructura de algunas frases y eliminar partículas expletivas porque el sistema, que traduce literalmente, daba resultados con sentidos distintos e incluso contrarios (je je) a los del original.
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LE GARDIEN (Un conte du genre «Déjà vu»).
Un après-midi, j’étais en train de regarder le journal télévisé de TV 5 Monde quand tout à coup, j’ai vu un événement que j’avais l’impression d’avoir déjà vécu. Très étonné, j’ai bien écouté le bulletin d’informations suivant et j’ai une nouvelle fois constaté que j’avais déjà vu à peu près la même chose la semaine précédente.
Après avoir réfléchi, j’étais convaincu que quelque chose d’extraordinaire m’était arrivé : j’avais le pouvoir de savoir à l’avance ce que j’allais vivre la semaine suivante. Et c’était vrai, car après, j’ai fait un essai et, en silence, dans l’obscurité, j’ai pu me concentrer mentalement et voir un événement qui aurait lieu à l’avenir, probablemente une semaine plus tard.
Ce jour-là, je me trouvais dans une chambre de l’Hôpital Central. Dix jours auparavant j’avais eu un accident qui m’avait valu une jambe cassée et un coup très fort sur la tête qui me maintint sans connaissance pendant plusieurs heures.
J’ai, donc, pensé à mon accident quand j’ai cherché l’origine de cette faculté de connaître l’avenir et j’en suis arrivé à la conclusion que quelque chose avait changé dans mon cerveau à cause de ce coup si forte que j’avais reçu. Plongé dans de profondes réflexions et en proie au doute, je ne savais pas si je devais me réjouir des avantages que cette situation pourrait me procurer, ou bien regretter mon destin, parce que je voulais être une personne comme tout le monde, sans avoir la responsabilité de pouvoir changer le cours de la vie de n’importe qui.
J’étais conscient que ma vision de l’avenir pourrait m’enrichir facilement (il n’y avait qu’à noter préalablement le résultat d’un jeu de hasard quelconque, et puis y jouer), mais il faut dire que je jouis d’une bonne situation pécuniaire grâce à un héritage, et l’idée d’obtenir de l’argent de cette façon ne m’attirait pas.
Après plusieurs jours de réflexion, j’ai décidé incontestablement de ne pas utiliser mon étrange pouvoir de mon vivant. Plus jamais ! Quoi qu’il arrive ! Et, même, je me le suis juré. Et à partir de ce moment-là, j’ai continué à vivre comme une personne tout à fait normale et à laisser courir la vie telle qu’elle est, comme elle vient.
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Quinze ans s’étaient passés et mon existence s’était écoulé avec toute normalité. Dans cette période je m’étais marié et j’avais été père d’un enfant qui a maintenant 9 ans. Grâce à ma heureuse vie familiale, j’avais pratiquement réussi à oublier cette faculté extraordinaire, comme je me l’avais proposé, jusqu’à ce qu’un jour, le 20 avril passé, à l’instant où j’étais sur le point de m’endormir, je n’ai pas pu m’empêcher de voir dans l’obscurité de ma chambre des images de télévision au sujet d’un hold-up qui allait se produire une semaine plus tard, le 27 avril, dans la succursale d’une banque située dans le petit village de Lipéron.
À ce moment-là, il y avait dans le bureau 4 employés de la banque et 6 clients. Le présentateur de la télé expliquait les détails de cet événement où une bande de trois voleurs armés et masqués avait fait irruption vers 11 heures du matin dans la banque. Après avoir exigé que tout le monde s’allonge face contre terre, ils s’étaient emparés d’un gros butin
«Mais le plus regrettable –racontait le journaliste– c’est que le gardien du bureau a sorti son arme pour essayer de les arrêter, mais il n’a pas réussi parce que l’un des voleurs, plus rapide, a tiré un coup de feu sur lui et, malheureusement, l’a abattu. Le gardien, un homme de 40 ans, habitant de ce petit village, est mort sur le coup».
Deux jours plus tard, le 22 avril, j’ai encore vu à l’avance dans ma tête, sans le vouloir, des images de la télévision. C’était une émission qu’il aurait lieu une semaine plus tard, le 29 avril : il s’agissait d’un reportage sur les obsèques du gardien dans le cimetière de son village natal. On y voyait des autorités, le personnel de la banque, des amis et des proches. J’ai pu observer les visages tristes de ces personnes, parmi lesquelles on trouvait la veuve de ce brave employé, les larmes aux yeux. Le timide soleil, comme pour ne pas être le témoin de cette scène si douloureuse, se cachait peu à peu derrière les sombres nuages de pluie qui commençaient à couvrir le ciel.
Et, soudain… j’ai vu son fils, un enfant de 8 ou 9 ans à côté de sa mère et la tenant par la main. Il ne pleurait pas, mais j’ai vu dans ses yeux une telle expression de douleur, de déchirement, que jamais je n’oublierai son visage.
Vraiment, les jours suivants je ne pouvais pas faire disparaître de mon âme le regard de cet enfant, qu’on le devinait plein d’interrogations et déchiré par une douleur infinie; mais je m’ai dit qu’il fallait complètement oublier cet épisode, parce que la vie continue, malgré tout ce qui se passe, il soit bon ou il soit mal.
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Le 27 avril, jour du hold-up, la télévision a diffusé l’information suivante : «Ce matin, vers 11 heures, trois individus armés et masqués ont fait irruption dans le bureau de la banque du village de Lipéron. À ce moment-là, il y avait dans le bureau 4 employés de la banque et 6 clients. Au moment précis où les voleurs ont exigé que tout le monde s’allonge face contre sol, ces 10 personnes, qui étaient en réalité des membres de la police, ont sorti leurs pistolets et ont encerclé les voleurs, aussitôt immobilisés et arrêtés».
Plus tard, je suis parti en voyage en direction du village de Lipéron, à 400 km de chez moi. À travers la radio de ma voiture, j’ai écouté parler le gardien, le père de l’enfant. Encore ému, il racontait au journaliste un fait vraiment insolite : il avait reçu le jour précédent un coup de fil anonyme. C’était la voix d’un homme qui lui avait avoué être un voleur repenti, qu’il avait appartenu à une bande criminelle et que cette bande de trois personnes avait prévu d’attaquer la banque de Lipéron le 27 avril à 11 heures.
Néanmoins, le journaliste ajouta qu’après avoir interrogé aux voleurs, la police etait sûre qu’il n’existait pas un quatrième homme dans cette bande de voleurs, et que, en conséquence, l’identité de la personne qui avait fait le coup de fil pour advertir de ces faits, était tout un mystère.
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Le lendemain, je me suis promené dans la rue qui longe l’école de Lipéron. Arrêté sur le trottoir, j’ai regardé pendant un bon moment jouer les enfants à travers la grille du centre scolaire. Et j’ai vu le fils du gardien de la banque. Il avait l’air content, il bavardait avec ses amis en souriant : vraiment il était heureux.
Et quelques minutes plus tard, je suis parti sans qu’il se rende compte de ma présence.
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C’est dédié à Blasita.
13-4-2016.
¡Muchas gracias, Robin!
Mi ignorancia del francés es ya conocida, así que, aunque había entendido gran parte del cuento, lo he traducido siguiendo la ayuda que has puesto a nuestra disposición. Creo que eres muy humilde porque a mí me parece que es estupendo y que es una pena que no hayas escrito más.
Supongo que sonará cursi, pero la verdad es que no tengo palabras para agradecerte este bonito regalo de aniversario que, con tu permiso, me gustaría compartir con todos los demás blasiteros y lectores del sitio.
Un abrazo y muchas gracias por todo de corazón.
Gracias por el cuento, Robin.
A mí también me ha gustado y además he podido recordar algo del francés que ya tengo casi olvidado. Si yo escribiera un cuento, se tendría que llamar «de miedo», y no precisamente por el género.
Saludos cordiales.
Cher Robin:
Merci beaucoup d’avoir partagé avec nous cette belle histoire dont le thème nous montre que, malgrè tout, on pourra rester tranquilles tant qu’ il y aura des gens si courageux et avec le coeur sur la main. Parce que… c’est toi le personnage, n’est pas ?
Mon Dieu !, je suspectais depuis quelque temps que tu étais un type spécial… 😉
Me ha encantado el cuento y me ha hecho recordar algo parecido que viví hace unos quince años. Iba a clases de inglés para adultos, pero debí de apuntarme en un nivel que no era el que me correspondía porque me aburría allí como una ostra. Se lo dije al profesor y creo que no me creyó una palabra porque me propuso un reto. Tenía que hacer un relato de lo que nos había contado unos días antes un señor norteamericano que estuvo dándonos una charla informal sobre su forma de vida y sus viajes, no era un cuento lo que me pedía.
No es un cuento, pero si obra de un total «amateur» (por lo menos ya cumple una de las condiciones de esta entrada). Me pilló por sorpresa; no tenía apuntes de nada y tuve que apañármelas como pude para sacar esto que podréis leer, si tenéis un poco de tiempo libre, en el documento adjunto.
Un abrazo a todos
Buenas tardes:
Muchas gracias, Blasita, Monic y Madri por las amables palabras que me habéis dedicado. Sin embargo, y no es por llevaros la contraria, yo creo que os habéis equivocado de página y habéis leído uno de los cuentos que publicó en este blog nuestro amigo Dewekkerf, mostrando su prosa fluida, espontánea y de gran calidad literaria, y al que, me cachis en la mar serena, como hace tiempo que no sale a la palestra, se le echa de menos.
Respecto al trabajo sobre las andanzas de Mr. MacCloud, Madri, te felicito porque me ha resultado muy interesante (¿recuerdas que un asturiano diría «me ha prestado mucho»?, je je), y está muy bien narrado incluso para los que sabemos poco inglés.
Realmente es un personaje muy singular este George, cuya forma de vida entiendo yo que tiene, como ocurre con todo, sus pros y sus contras, obviamente. Pero de ella me apetece ahora señalar solamente una cosa, algo muy positivo:
Él y las pocas personas que viven de ese modo son los únicos que saben captar, valorar y agradecer –y dar las gracias es de buena urbanidad– el cúmulo de bellos regalos que nos ha hecho Dios o la naturaleza (según estime cada uno), depositados en millones de lugares y rincones de nuestro planeta y, más aún, del universo. Y ya está, no me enrollo más.
En cuanto al símil tormentas / mujeres, me abstengo de opinar, ya que es un asunto asaz proceloso. 🙂
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Y ahora nos quedamos impacientes a la espera del siguiente cuentista…
[cuentista (DLE)
1. adj. coloq. Dicho de una persona: Que acostumbra a contar enredos, chismes o embustes. U. t. c. s.
2. m. y f. Persona que suele narrar o escribir cuentos.
3. m. y f. coloq. Persona que por vanidad u otro motivo semejante exagera o falsea la realidad].
…preferiblemente de la 2ª acepción.
Un abrazo, majetes. 🙂
Buenas tardes a todos:
Me ha gustado mucho el relato que nos ha regalado Madri. Gracias y felicidades también por mi parte. Claro, seguro que con ese inglés te aburrías, no me extraña. De todas formas, vuestro profe parecía profesional y animoso porque llevar a alguien así a clase me parece una muy buena idea.
Yo solía escribir bastante de pequeña y adolescente, especialmente poesía (en castellano, claro). Desgraciadamente he ido perdiendo de vista objetos personales entre mudanzas y estancias en el extranjero. Me temo que no soy buena escribiendo y sí un ejemplo de eso que se dice de que en casa del herrero, cuchillo de palo. No tengo a mano ningún cuento, pero me he acordado de que guardé un relato que escribí en inglés hace tiempo. Por favor, Robin, te ruego que si se sale de tu tema, me lo digas (lo pasamos a otra entrada o lo que sea).
Para poneros un poco en antecedentes. De casualidad acabé inmersa en un proceso de selección para un curso intensivo que daba opción a conseguir un título de Cambridge para enseñar inglés o en inglés. En aquella época vivía y trabajaba en Australia. Se presentaron cientos y cientos de personas con la intención de poder realizar el curso, el proceso se había iniciado meses atrás y ya había cuatro flamantes alumnos. Quedaba una sola plaza y tenían que decidir entre todos los demás. El día que yo fui era el último para las pruebas; en realidad, iba de acompañante de una compañera de trabajo que se presentaba a la última prueba, la entrevista. Mi colega no la pasó y, no sé cómo surgió, pero el caso es que uno de los instructores me dijo que, ya que estaba allí, por qué no hacía las pruebas yo. Estuve horas haciendo las pruebas escritas y, sorprendentemente para mí, llegué a la entrevista con los instructores. En fin, que una de las pruebas había consistido en escribir yo misma un relato como si fuera un alumno de inglés avanzado, para luego evaluar con comentarios esta composition. El escrito debía acabar con la frase: I promised myself that I would never do anything like that again, tener un número de palabras determinado y, sobre todo, contener distintas construcciones gramaticales y rico vocabulario para su evaluación.
Me gustaría compartirlo con vosotros. Como podréis comprobar, no tiene la intensidad e interés del de Robin o Madri. Desperdicié mucho tiempo pensando qué escribir y para mí el resultado no fue bueno, pero, teniendo en cuenta el tiempo que empleé y las condiciones en las que lo hice (los demás lo habían hecho en casa), fui alabada por los entrevistadores y, con eso y todo lo demás, pasé a ser la quinta componente de esa clase tan especial. Al final no me dio tiempo ni a hacer un borrador y decidí que lo más rápido sería plasmar una vivencia. Recuerdo ese día con cariño y como un pequeño logro personal, ya que, además, todos los demás candidatos eran anglófonos y con mucha experiencia docente.
No lo he traducido, pero no hay problema alguno en traducirlo si alguien lo necesita o prefiere que se haga.
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It was only three days since I had arrived at London and my visit seemed to have got off to a flying start because the Indian couple who I was staying with, had asked me to join them and spend the evening in town. Not only could I do a sightseeing tour of London, but also I could go inside a Hindi temple for the very first time in my life. So, I was really excited at the thought of steeping myself in the fascinating Indian culture.
It was raining cats and dogs when we got to the temple. «Heavy relentless rain is a perfect excuse for spending the entire Saturday evening praying», I murmured while I was scornfully looking at the crowd from the main entrance to the temple. As my friends kept on talking to the other couples, I managed to dodge round the corner in order to have a browse myself. Hardly had I sat down on the cold floor when I noticed that everybody had turned to look at me. What was wrong? I was bare-footed! So, I made light of their glaring eyes and concentrated on listening to the music instead.
An old man, who had a grey beard and wore a black turban, was singing a kind of litany with a small guitar accompaniment. The sound of his vocie startled me. It was hoarse, loud and furious, and made me fell ill at ease. Suddenly a man who was sitting in one of the front rows closer to the ‘singer’, stood up and stalked through the nave until he was facing me.
The music stopped, and everybody could hear the desperate sound of this screams. Little did I understand what the fuss was about and what language he was speaking; it could have been midway between Hindi and English. Luckily my friends hurried to appease the man’s fury, and then, I realised that all the women were sitting separately from the men, and that every single woman was wearing nothing but an Indian sari and a veil. Therefore, not only was I sitting on the men’s side, but also I had not covered my head. However, though we slinked out of the temple with our tails between our legs, I still believed that the whole affair was a storm in a teacup.
The following morning as I was driving their children to school, I thought that I could not have chosen a more unfortunate occasion for my introduction into the Indian culture and I promised myself that I would never do anything like that again.
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Caray, Blasita, en qué líos te metes. Menudo sacrilegio estabas cometiendo. ¿A quién se le ocurre «contaminar» el espacio masculino de aquella buena gente? Los asuntos de la religión, como los del comer, hay que tomárselos muy en serio…, aunque nos parezcan remolinos en un vaso de agua.
Menos mal que tus amigos estuvieron rápidos al quite, si no quizá te habrían sacado de allí tirándote de las orejas. No me extraña nada que te prometieras no volver a hacerlo en la vida, jaja, pero es una anécdota muy divertida.
Aunque ya ha pasado mucho tiempo, creo que fue una verdadera hazaña por tu parte conseguir aquella plaza tan apetecible. Mi enhorabuena por ello.
Un beso
Muchas gracias por esa enhorabuena, Madri. Parecerá una tontería, pero ese curso me dio mucho, tanto personal como profesionalmente.
¡Ja, ja! Sí, tienes toda la razón. Habría que añadir que en aquella época yo era una pipiola total. No pude contar todo en ese escrito por falta de tiempo, pero nunca fui irrespetuosa ni cabezota y lo menos que quería era incomodarles. Mis amigos eran bastante más abiertos de mente que ellos y quedó claro que yo no quise faltar a nadie en ningún momento; el caso es que no lo vi tan grave como para montarse la que se montó.
Un besote.
Buenas noches:
Bbrrrr… no tienes que pedirme autorización para nada, Blasita, (un día me voy a enfadar contigo 🙂 ) Has hecho muy bien en publicar esa pequeña historia personal con anécdotas que se siguen con interés y algo de suspense y que además nos han servido para comprobar que esas cosas ocurren en la realidad, no sólo en las novelas y películas. Muchas gracias por tu aportación, señora Modesta, digo señora Blasita.
En cuanto a la traducción al español, como yo he tenido que recurrir a los traductores en línea, quería informaros de lo siguiente:
Para el francés comprobé días atrás que el traductor de El Mundo era mucho mejor que el de Google (vamos, que decía menos disparates) y por eso os lo recomendé. Sin embargo, hoy he visto que para el inglés ocurre todo lo contrario, y si no, juzgad vosotros:
The sound of his voice startled me. It was hoarse, loud and furious, and made me fell ill at ease.Suddenly a man who was sitting in one of the front rows closer to the ‘singer’, stood up and stalked through the nave until he was facing me.
–Traducción de Google:
El sonido de su voz me sobresaltó. Era ronca, fuerte y furioso, y me hizo sentir incómoda. De repente, un hombre que estaba sentado en una de las primeras filas más cercanas al ‘cantante’, se puso de pie y se dirigió a través de la nave hasta que estaba frente a mí.
–Traducción de El Mundo:
El sonido de su voz me asustó. Estaba ronco, ruidoso y furioso, y me hizo cayó enfermo a gusto. De repente un hombre que se sentaba en uno del frente rema más cerca ‘al cantante’, se levantó y acechó por el cubo hasta que él me afrontara.
…….
Y es que no sé cómo se te ocurrió, Blasita, entrar al templo con un cubo.
Buenas noches. Un abrazo. 🙂
Gracias, Robin,. Qué paciencia me tienes … 😉
¡Qué bueno! Me lo he pasado bomba leyendo esas traducciones. Aunque los traductores automáticos han mejorado bastante desde que salieron, la mayoría sigue aún sin dar en la diana. A veces se les escapan las frases hechas y no aciertan con el significado de la palabra en el contexto, entre otras cosas. Lo que me extraña es ese cubo: ¿de dónde se lo habrán sacado? No sé, supongo que será por la forma de la nave, ¿no? Qué malo el hombre ese, que acechó por el cubo (?).
Se atrevieron a llevarme al mismo templo otro sábado. En esta ocasión iba ya preparada y cumplí con el necesario ritual. Mi amiga estuvo a mi lado toda la ceremonia y después del rezo bajamos todos a cenar a la planta de abajo. Ahí ya «me soltaron un poco la correa» y disfruté mucho de la experiencia. Todo fue bien; bueno, hay que decir que sí tuve una pequeña movida porque a mí me daba reparo comer con los dedos sucios de boles comunitarios sentada en un suelo que necesitaba uno o varios fregados. A alguien le molestó que no comiera de todo, pero no llegó la sangre al río. Se ve que en aquella época yo era algo tiquismiquis (je, je).
Un abrazo y buena tarde para todos.